Mes frères et mes sœurs


GHISLAIN

Né le 8 octobre 1948, il fut à ma connaissance ma première vraie déception. Mes parents m’avaient envoyé avec mon oncle Charles pour effectuer des voyages de gravier autour de Lorrainville. À ce qu’ils m’ont dit, ils allaient à New Liskeard, et comme c’était leur habitude ils me ramèneraient un cadeau, une surprise. Je me souviens d'avoir insisté pour une poupée noire. Pourquoi une poupée de couleur,  sans doute parce que Monique, de mon âge en avait et que Noël, mon voisin, dorlotait la sienne. Vous l'avez vu en photo dans un autre chapitre. Et pourquoi noire? À Lorrainville, les résidents de race noire m’étaient inconnus.

 À la fin de la journée, après le souper, quand  je suis revenu à la maison qu’est-ce que j’ai vu en arrivant? Malédiction! Non pas une poupée noire mais un bébé blanc qui bouge. Il m’a fallu attendre 56 ans pour avoir ma première poupée foncée et elle a comme nom Maribel.

Un écart de quatre ans et demi fait en sorte que je ne me tiens pas tellement avec Ghislain et quand je m'expatrie pour le Collège en septembre 1958, il n’a pas encore dix ans. Il faut dire que je ne le connais pas ou peu. Au primaire, il a suivi le même chemin que moi et pour le secondaire, il s’est dirigé au Séminaire St-Michel de Rouyn-Noranda là où il a fait les quatre premières années du cours classique. Il s’est ensuite dirigé vers le Collège de Rouyn en Belles-lettres. Il a complété son baccalauréat avant de se rendre à l’Université de Montréal en lettres.

Il rencontre une certaine demoiselle Allen dès la première année au collège de Rouyn et le cours classique terminé, Renée l’a suivi à l’Université du Québec à Montréal, afin d’obtenir un diplôme en histoire

Leur mariage fut célébré le 15 août 1970 et ils ont continué à demeurer près de l’Université de Montréal ou de l'Université du Québec à Montréal selon les années. Huit mois sur douze car ils déménagent pour ne pas payer quatre mois de loyer pour rien durant l’été. Durant ces mois, Ghislain maçonne et Renée est sans doute avec ses parents à la cantine à Noranda-Nord, au Petit Lutin.

En 1972, c’est le retour à Rouyn-Noranda, et Ghislain fait toute sa carrière en littérature au Cegep pendant plus de 35 ans tout en prenant des charges de cours à l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue. Et je me dois de confirmer qu’il était très près de ses élèves et qu’il était très apprécié. Pendant ce temps, Renée faisait le tour des écoles secondaires et le tour des matières : français, histoire, géographie, économie, dactylo…Les champs d'enseignement ne souffraient pas limites à cette époque.

Un accident malheureux cloue Ghislain au lit au début de l'été 1980. En aidant notre père à déplacer un échafaud, il se fait une double fracture à la jambe. Des visites aux hôpitaux à Ville-Marie, à Rouyn-Noranda et Amos leur coupent les trois semaines de camping qu’ils faisaient chaque année au Québec, en Ontario et dans les Maritimes. Linda s’est aussi rendue à Rouyn pour soulager Renée et s’occuper de Ghislain pendant que la mère de famille partait avec les trois petits garçons.

Renée et Ghislain ont divorcé le 15 février 1990. Un an plus tard, Ghislain avait suffisamment récupéré pour qu’une garde partagée puisse être envisagée mais de façon graduelle. A seize ans, Louis Philippe fut le premier à bénéficier de deux résidences. Il fut par la suite suivi par François Olivier et Jean-Dominique un peu plus tard. Catherine a préféré rester avec sa mère. Elle avait tout l’espace pour elle.

Un cancer dévastateur s’est emparé de Ghislain et après de multiples traitements, il fit appel à l’aide médicale à mourir le 23 novembre 2016. Vivant seul chez lui, il ne pouvait plus continuer à être dans cette situation. En août il fut admis aux soins palliatifs. Jean-Do qui a pu bénéficier d'un congé a pu accompagner son père dans différents hôpitaux dont un dans la région de la capitale nationale et un à Montréal. Les trois dernières fins de semaine avant son décès nous étions descendus à Rouyn-Noranda et lors du samedi précédant son départ, nous avons, les enfants de Dominique et Laura pu assister à la rencontre de Ghislain avec les médecins dans le but de préparer cette aide médicale à mourir. Lors du décès, ses quatre enfants étaient présents. Transporté à Lorrainville pour les funérailles, son urne repose avec nos deux parents sur le lot familial.

Avant de se séparer après presque vingt de vie commune, le couple a eu quatre enfants. Trois garçons d’abord avant qu’une fille vienne fermer la boucle.

Louis-Philippe

Louis Philippe est né le 23 juin 1975. Deux programmes au Cegep: : un général et l’autre en techniques forestières. Depuis la fin de ses études en 1997, il varie ses expériences. Il travaille d’abord pour une compagnie privée, passe au ministère des Terres et des Forêts, œuvre cinq ans avec les autochtones à Kipawa, besogne avec une coopérative forestière et avec la municipalité d’Angliers et à la Municipalité régionale de comté du Témiscamingue et dernièrement pour l’Union des producteurs agricoles, où il est le responsable des liens entre les producteurs de bois et les acheteurs. Résident à Angliers, il applique ses connaissances sur son propre territoire en plus de faire certains élevages. Et la famille a du temps pour une petite érablière à Angliers.

Il est marié à Cindy Cotten depuis le 17 février 1997. Elle est évaluatrice et chef de bureau à la SAAQ de Ville-Marie. Trois enfants complètent l’arbre généalogique. Thomas est né le 30 novembre 1999 et achève en 2019 sa formation en méconique et soudure. Mathilde, 14 mai 2002 est au secondaire. Théodore célèbre son anniversaire le 1 mai. Il est né en 2008.

Jean-Dominique

Le 25 février 1977, c’est la naissance de Jean-Dominique. Un cegep de formation générale, une technique minière et cette dernière lui ouvre les porte d’Agnico Eagle en 2001 comme fondeur d’or. Il travaille maintenant dans l’usine et doit résoudre tous les problèmes en tant qu’homme de relève et analyste. La santé et la sécurité au travail ainsi que la francisation sont aussi ses dossiers. Il a aussi une érablière à Kipawa construite en 1995 avec Philippe. Les deux plus vieux, sur le conseil de Guy, ont procédé au recouvrement de leur maison en pierre de champs et Ghislain a pu servir de manœuvre, un retour aux sources.

Sa conjointe Anne Marcouiller, enseigne au primaire. Deux enfants ont leur place à la table familiale à McWatters. Il s’agit de Florence depuis le 21 juin 2011 et de Raphael, 17 novembre 2013.

François-Olivier

La maison que le couple possède depuis 1975 sur la rue Bonaventure et que Renée habite toujours, voit arriver un nouveau pensionnaire le 22 février 1980. François-Olivier fait un bacc en communication à l’Université Laval et est journaliste à Radio Énergie de Val-d’Or. Il se promène en région pour interviewer les acteurs de l’actualité en plus d’avoir été entraineur de football dans son patelin.

Sa première conjointe, Mélanie Goulet s’est présentée deux fois à l’hôpital pour donner naissance le 10 septembre 2011 à Charles, et à Camille le 22 janvier 2015. Sa nouvelle flamme, Véronique Verville est infirmière spécialisée et mère d’une fille, Léa Nadeau née le 10 août 2013. Et mai 2019, le couple passe de nouveau à la salle d'accouchement et Émile choisit ses parents le 11.

Catherine


Enfin, une fille son apparition le 30 mars 1983. Après deux ans en sciences à l’Université de Montréal, Catherine bifurque vers Sherbrooke en sciences et en droit où elle fait deux maîtrises. Elle exerce présentement le droit à Cowansville depuis 2010 en partenariat avec Anne-Marie Durand, Les deux collègues ont acheté l’étude du notaire Beaudry, là où Catherine avait fait son stage. Elle est impliquée dans beaucoup de comités et de conseils d’administration : Comité de règlementation de la chambre des notaires, Conseil d’administration de la Caisse populaire régionale, Forum Desjardins. Chambre de commerce. Elle a organisé  des défilés du Père Noel pendant 3 ans. Elle participe aux couleurs urbaines en vue d’embellir la ville. Et jusqu’en décembre 2019, recrutée par la chambre des notaires elle donnait des formations un peu partout en province.


D’un premier conjoint camionneur, Nicolas Vachon, elle a deux enfants : Félix (16 février 2013) et Chloé (8 juillet 2015). Son nouveau conjoint, Marc Lapointe est recruteur pour l’Armada de Blainville-Boisbriand en plus d’être entraîneur de hockey dans les écoles.


Ghislaine


Sans doute que mes parents se sont dits en mars, avec l’arrivée du printemps, « Si on essayait de faire une fille ». L’aîné vient d’avoir sept ans et le bébé en aura trois cette année. C’est ainsi qu’entre les travaux d’hiver et ceux d’été, Ghislaine est conçue. Mais naître un 23 décembre par exemple, fallait y penser. Je ne sais pas si cela avait été calculé, mais avec une date comme ça, tu sauves sur les cadeaux.

Il lui fallait bien aussi un parrain et une marraine. Joseph Caya et Béatrice ont été choisis. Pourquoi? Pourquoi pas? Les grands-parents sont pris par les deux premiers. Alors le plus vieux couple des oncles et des tantes est le choix de Ghislaine par procuration.

Des études primaires à l’école Notre-Dame et Saint-Louis pour les secondaires I et II, la propulsent à Ville-Marie pour la suite et à Rouyn-Noranda pour le secondaire V à Paul-VI. Puis, elle obtient un certificat de l’Institut canadien des banquiers. Ce diplôme lui permettra de travailler à la Banque canadienne nationale de Lorrainville du 8 juillet 1970 au 19 novembre 1972.


Dans les annales de la banque, nous la retrouvons à Saint-Sauveur-des-Monts de 1972 à novembre 1976. Elle se dirige ensuite en restauration avec son conjoint, Lucien Beaudoin. Ils travaillent dans ce domaine au Motel Diplomate à Montréal, au restaurant Pocono à Sainte-Julienne et à Val-d’Or au Coq d’Or, monté de leurs propres mains, et au Turlututu. Durant son séjour dans la ville minière, elle demeurera non loin de chez nous sur la rue Cloutier, lieu privilégié pour prendre des douches pendant notre construction à Val-Senneville. Aussi cela s’avérait pratique, car une enfant du nom de Maude est née durant ce séjour; une gardienne et par surcroît sa marraine à quelques mètres de là.

Revenons à Ghislaine. Une séparation légale survient en février 1981 avec Lucien, dont le mariage remontait au 20 avril 1974 à Saint-Sauveur-des-Monts. Chef cuisinier dans ce village des Laurentides, il provenait de Saint-Zacharie-de-Windsor en Estrie où il fut livré par les cigognes le 29 décembre 1952.

Et Ghislaine et Maude, après leur séjour à Val-d’Or, prennent l’autobus pour Sherbrooke où Ghislaine travaillera à la Banque nationale du Canada de mars 1980 jusqu’à sa retraite le 25 octobre 2013. Et depuis août 2015, elle est brigadière scolaire pour la Ville de Sherbrooke. Et en passant, elle tient sa pancarte haute. Elle ne veut pas passer inaperçue.

La vie de ma sœur fut modifiée légèrement le 19 mai 1984, car Frédéric Patrigianni entre dans sa vie. De 16 ans son aîné, il travaille comme barman à la brasserie le Dauphin de Sherbrooke dont il est copropriétaire. Né le 12 mars 1935, il décède du cancer le 19 avril 1999 non sans avoir eu le temps de m’aider à remplir un immense trou à notre chalet au Lac Lamothe. De ces 15 années de vie conjugale, une naissance : Laura.


Une toute dernière photo prise le 24 décembre 2021.

Maude


Le 20 juillet 1978, l’Hôpital de Saint-Sauveur enregistre sa naissance. Un baccalauréat en littérature, une maîtrise et un doctorat en études françaises lui assurent depuis un emploi de coordonnatrice, traductrice et reviseure médicale chez Lemieux Bédard, une agence de communication

Elle partage sa vie avec Sonny Benoit né le 15 janvier 1982. Celui-ci possède un bac en enseignement et un DEP en réparation d’appareils électriques du Centre 24-Juin de Sherbrooke. Il enseigne l’éducation physique au primaire depuis 2012. Le couple voit sa routine se modifier énormément le 22 août 2013 : des jumeaux identiques viennent de s’établir chez eux : Enzo et Léo.


Laura 

Le 22 janvier 1986, Laura lance ses premiers cris. Elle est actuellement directrice générale de L'Association du Marais-de-la-Rivières-aux-Cerises depuis juin 2017. Ses études à Sherbrooke et à Rimouski lui donnent un excellent bagage pour la fonction qu’elle occupe; une maîtrise en écologie internationale et en gestion de l’environnement dans son patelin et des études en biologie sur le bord du fleuve. Baccalauréat en biologie de l'Université du Québec à Rimouski, double maitrise en gestion de l'environnement et en écologie internationale de l'Université de Sherbrooke. Bon là, là, je suis déjà essoufflé et je ne fais qu'écrire. Ouf


En plus de son travail à Magog pour la protection du milieu naturel, elle est chargée de cours à la maîtrise en environnement à l'Université de Sherbrooke. Bref elle est libre comme elle le dit et trouve son équilibre dans le changement. Grande voyageuse depuis qu'elle a dix-huit ans, elle a même déjà habité dans la jungle mexicaine pour son projet de maitrise.




Linda


Le 8 octobre 1961, le bébé de la famille sourit pour la première fois. Toujours dans ce dixième mois, treize ans plutôt, Ghislain avait aussi choisi cette date. Dans le calendrier républicain français ce 8 octobre est officiellement dénommé jour de la citrouille. Je ne vois pas le rapport mais je suis tombé sur ça! Dans les deux cas, j’imagine que ma mère avait souhaité le quatre du même mois, date de sa naissance. Linda aurait pu s’appeler Ginette, pour être de la lignée de G, mais un tour de table me fait suggérer Linda que je turlutais dans l’ombrage de Michel Louvain dont c’était le succès de l’heure. Ghislaine et Ghislain agiront comme marraine et parrain. Cela reste dans la famille.

Elle fait ses études primaires à l’école Notre-Dame, à quelques pas de la maison et sa sixième année à Béarn, quelques kilomètres en autobus. Le secondaire se déroule à Lorrainville, à Ville-Marie et se termine à Notre-Dame-du-Nord. Le Cegep lui attribue un DEC en techniques de documentation. Durant son séjour à Rouyn-Noranda, elle habite chez Ghislain et à la résidence du Cegep. Ghislain d’ailleurs lui enseignera le français au collégial. Ses stages se feront au Cegep et dans trois écoles primaires de Rouyn et Noranda (les deux villes jumelles seront fusionnées en 1986). Un bon d’emploi l’amène à travailler à la bibliothèque de Lorrainville, un remplacement à l’école Marcel-Raymond, à la Commission scolaire du Lac Témiscamingue pour 18 mois. Elle est installée à la librairie de Ville-Marie depuis 1987. Le nom change mais c’est toujours à la même place : Hamster.

Selon des sources officielles, elle rencontre Jean Martineau en secondaire III à Ville-Marie et un grand amour est né. Ce dernier complétera une technique en travail social au Cegep de Rouyn. Il débutera son travail à la polyvalente Marcel-Raymond de Lorrainville à titre de surveillant au départ. En 1992, il devient aussi préposé pour dix ans à trois élèves en fauteuil roulant. Par la suite, jusqu’à sa retraite en 2016 il est technicien en travail social, donc il accompagne des élèves en difficultés. Il prend sa retraite en 2016. Depuis ce temps, nous le voyons sur les terrains de golf assez souvent puisqu’il veut encore réaliser l’exploit du trou d’un coup comme celui qui a marqué l’histoire du club de golf de Ville-Marie le 2 juin 2013 au trou no 2.

Pompier, il voit un jour sur sa pagette qu'il y le feu au 7 rue Geoffray. Il réalise soudain: " Mais c'est chez-moi, c'est chez nous.!" Les pompiers se présentent mais rien èa faire sauf protéger la maison et les bâtiments autour. Ils n'auront plus à peinturer à la chaux le garage, la "shed" à bois et ce qui servait pour entreposer les outils. Rasé. Cela change complètement le décor mais un jour ou l'autre la nature s'en serait chargé.

Un événement survenu en 1986, l’amène aujourd’hui à occuper le poste de Directeur de la régie des incendies de MRC du Témiscamingue. Pompier volontaire lors de l’incendie du restaurant Paquin, il devient sous-chef en 1988 et par la suite directeur de la brigade de Lorrainville en 1994. En 2016, il hérite du poste de directeur adjoint à la régie intermunicipale nouvellement crée et chargé de projet en sécurité incendie d’où des déplacements en province. Belle retraite.

Mais puisqu’il faut occuper ses temps libres, son intérêt pour le hockey se développe avec les coups de patins d’Alexis et de Maxime. Transport. Habillage. Il passe de préposé à la sécurité, d’entraineur, de gérant, d’arbitres et d’administrateur de tournois du hockey mineur. Il termine le tout comme président du Hockey Abitibi-Témiscamingue d’où des voyages encore et des rencontres de joueurs professionnels.

Le couple cohabite ensemble à compter de 1983. À la suite du décès de notre mère en 1984, elle habite avec notre père dans la maison familiale au 7 rue Geoffroy. Quelques années plus tard, ils s’installent sur la rue de l’Église, face au poste de pompier de l’époque. Cet endroit semble ouvrir des horizons à Jean.

Au décès de Dominique en 1989, la maison est achetée par le couple au quatre-cinquième de la valeur uniformisée. Ils y demeurent toujours. La maison a subi quelques transformations et je me demande toujours comment on faisait pour s’entasser durant les fêtes de Noël, du nouvel an, et toutes les autres raisons de festoyer.

Alexis

Le couple donne naissance à un premier enfant le 14 août 1989. Le placenta n’arrivant pas à nourrir le bébé, le médecin pratique un césarienne et Alexis, pesant trois livres et sept onces, demeurera l’hôpital jusqu’au 27 août. On aurait dit que notre père attendait de voir le petit. Il l’a vu, la pris dans ses bras et le 28, Dominique  est retrouvé sans vie.

Alexis demeure présentement à Lorrainville au 37 de la rue Notre-Dame ouest, tout près du pont de Séraphin Barrette où j’allais quelque fois à la pêche. Il partage sa vie avec Sarah-Michèle Paquin qu’il a rencontrée le 14 janvier 2014. Le couple a actuellement un garçon du nom de Liam né le 9 août 2016 et celui-ci fait la joie de ses grands-parents. Le plaisir est doublé avec la naissance de Magalie qui, le 5 décembre 2018, est heureuse de rencontrer son frère en attendant de voir le petit dernier le 12 février 2020 qui se nomme Jacob. Avec son D.E.P. en charpenterie-menuiserie. Alexis travaille présentement dans la construction pour la compagnie V. M. et à Témiscamingue chez Tembec (Rayonner). Durant ses études, un emploi l’attendait chez BMR. Sarah-Michèle a d’abord fait un cours de coiffure et est retournée aux études. Il occupe un emploi dans son domaine dans une garderie de Ville-Marie.

Maxime

Un deuxième garçon, Maxime nait aussi par césarienne en raison du même problème de placenta.et commence sa vie le 26 janvier 1994. Avec son D.E.P. en électricité, il travaille pour Moreau à Rouyn-Noranda après avoir fait deux ans chez Marine Lamy. Si on fait un retour en arrière, il a joué pour les citadelles en 2011 pendant son séjour au cegep et est demeuré bénévole avec eux. Aux études, il a travaillé aussi chez BMR et dorman et boss boy au Bar Wud’s.




Guy









2021 08 09




4 commentaires:

  1. J'ai hâte de voir la suite.
    Il est où Gilles Dénommé ?
    René Beauchamp (RIAQ)

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  2. Bonjour Gilles, cher cousin. Comme toujours tu m'apportes de merveilleux souvenirs d'enfance. Mon oncle Mi-nique comme on l'appelait ma tante Laura et vous tous, ça fait chaud au coeur de tous vous revoir avec vos beaux cheveux gris. Au plaisir de te lire.

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    1. Désolé je n'avais pas signé. Diane Lemoyne ta cousine.

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  3. Merci Diane. D'autres souvenirs viendront te chatouiller.

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